tag:blogger.com,1999:blog-3400525133956052260.post4646911552000634175..comments2014-06-21T04:53:58.184+02:00Comments on Les Daubasses selon Benjamin Graham: Pourquoi nous n’utilisons jamais le per comme indicateur de valeur pour une entreprise …L'équipe des daubasses selon Benjamin Grahamhttp://www.blogger.com/profile/11256837568519405067noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-3400525133956052260.post-16972301766814545452009-10-27T20:01:52.718+01:002009-10-27T20:01:52.718+01:00Bonjour Laurent,
D'autres approches d'inv...Bonjour Laurent,<br /><br />D'autres approches d'investissement sont tout autant respectables que la nôtre. Et donc une approche value sur base de la capacité bénéficiaire de l'entreprise (que ce soit en fonction du per, des free cash flow ou des dividendes) peut avoir du sens ... à condition de pouvoir vérifier la pérénité à long terme de ces facteurs.<br /><br />Travailler sur le bénéfice du dernier exercice ? OK mais ça n'a du sens que si ce bénéfice est maintenu dans le futur. Dans le cas contraire, la "valeur" que l'investisseur pense avoir découvert s'envole en fumée. Ce qui n'est pas le cas avec les actifs de l'entreprise, plus difficile à "dissoudre".<br /><br />Cependant, même dans le cadre de notre approche, nous ne rejetons pas totalement l'aspect "rentabilité" d'une entreprise. Vous consaterez d'ailleurs que dans nos analyses approfondies, nous tentons une valorisation, succincte il est vrai, sur base de la capacité bénéficiaire. Mais, dans tous les cas, notre attention se focalise en priorité sur les actifs.L'équipe des daubasses selon Benjamin Grahamhttps://www.blogger.com/profile/11256837568519405067noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3400525133956052260.post-63430499893485577482009-10-27T16:07:51.757+01:002009-10-27T16:07:51.757+01:00Le PER "projeté" ("forward P/E"...Le PER "projeté" ("forward P/E") est très certainement inutile pour l'investisseur value.<br /><br />Toutefois, même dans une approche purement "daubasse" (à la Ben Graham), le PER de la dernière année écoulée peut donner une idée de la cherté actuelle d'un titre.<br /><br />En étudiant aussi la régularité de ses résultats passés ("earnings power"), le PER courant devient un indicateur assez fiable, même pour l'investisseur value.<br /><br />Cela dit, il ne faut se limiter au PER. Il faut le croiser avec le price/book ratio, le niveau d'endettement et la rentabilité de l'entreprise (return on assets).Laurenthttp://www.cafedelabourse.comnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3400525133956052260.post-40531211744646483132009-06-24T19:38:31.932+02:002009-06-24T19:38:31.932+02:00Oui Richard, un beau compromis ... mais qui laisse...Oui Richard, un beau compromis ... mais qui laisse latent le problème d'avoir la certitude du maintient dans le futur des bénéfices actuels.<br /><br />Ah c'est pas facile la vie de boursicoteur ...L'équipe des daubasses selon Benjamin Grahamhttps://www.blogger.com/profile/11256837568519405067noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3400525133956052260.post-79607897064585542022009-06-24T19:16:39.127+02:002009-06-24T19:16:39.127+02:00Salut les membres des Daubasses,
ces réflexions m...Salut les membres des Daubasses,<br /><br />ces réflexions me font penser à un des critères définis par Benjamin Graham qui me semble réaliser un compromis entre le critère PER bas et le critère actif net. B.Graham conseille de s'intéresser aux entrerpises dont le facteur (PER x ANC/Cours) est inférieur à 22 soit un PER maximual inférieur à 15 et un ANC/Cours maximal inférieur à 1,5.<br /><br />Et voilà une belle synthèse, non ?<br /><br />RichardUnknownhttps://www.blogger.com/profile/02322571037871922586noreply@blogger.com